Fournisseurs de fixations Hastelloy C22

Le boulon UNS N06022 présente une bonne résistance aux milieux oxydants en raison de sa teneur élevée en chrome. Par exemple, l’ASTM B574 UNS N06022 présente d’excellentes propriétés de résistance à la corrosion lorsqu’il est utilisé dans des environnements contenant des milieux aqueux oxydants tels que le chlore humide ou dans des mélanges contenant de l’acide nitrique ou des acides oxydants avec des ions chlore. En plus d’être résistants aux agents oxydants, les écrous Hastelloy C22 peuvent résister à la saumure, à l’eau de mer et aux acides organiques et inorganiques. En conséquence, les applications marines ou basées sur l’eau de mer peuvent utiliser les fixations en Hastelloy 22.

Il est bien connu que l’inclusion de tungstène et de molybdène dans les fixations en alliage C22 confère à ces fixations une excellente résistance aux milieux réducteurs. Bien que le nickel soit connu pour avoir une bonne résistance à la corrosion à lui seul, il offre la meilleure résistance à la corrosion lorsqu’il est ajouté à ces vis Hastelloy C22. dans des environnements où les flux de traitement rencontrent des conditions réductrices et oxydantes. Cette caractéristique de l’hastelloy est avantageuse pour les plantes polyvalentes qui poussent fréquemment dans des environnements mixtes.

La teneur en nickel des boulons Hastelloy C22 est ce qui empêche la formation de précipités aux limites des grains dans la zone affectée par la chaleur de la soudure. Par conséquent, à l’état brut de soudure, les fixations Hastelloy sont parfaitement adaptées aux applications impliquant des processus chimiques. La bonne ductilité de l’Hastelloy 22 et sa soudabilité exceptionnelle sont deux autres caractéristiques. La ductilité élevée de l’Hastelloy 22 lui permet d’être transformé en une grande variété de fixations, notamment des boulons, des vis, des écrous et d’autres éléments.

Malgré le fait que les fixations en alliage C-22 fonctionnent bien à des températures élevées, il faut faire preuve de prudence pour s’assurer qu’elles ne sont pas utilisées dans des environnements où les températures peuvent dépasser 1 250 °F. En effet, ces températures peuvent provoquer la formation de phases nocives.